Après la nature
J’appelle le souffle de la peinture.
Il y a le temps du paysage arpenté, souvent dans l’apesanteur d’une journée d’été, accompagné des senteurs des landes d’ubac ou des landines de haute altitude, humant les fragrances de ce grand corps fleuri, je suis porté par un courant d’air jusqu’à la frontière des mondes et je sens le souffle de la peinture. Le temps de l’après.
“Fragrance désir”, 2015, gouache sur papier de soie résiné avec couverture de survie en fond, 100 x 100 cm.
“Déserter les villes”, 2013, dessin au fusain sur papier de soie résiné avec couverture de survie en fond, 200 x 280 cm.