Peindre, parce que vivre ce n’est pas assez.
En ce sens la peinture est radicalement politique, insaisissable et anachronique. Il faut voir dans l’attrait de la peinture le choix d’une puissance désirable qui permet, dans son retrait, à la fois un écart et un lien, un impalpable et un passage.
Voir là, dans cette surface qui sépare et rapproche ce qui me lie au monde. En savoir plus ›
Dernièrement :
L’envers de l’endroit, Rolino Gaspari et Bernard Rousseau, une exposition. Chapelle des Cordeliers, 15 au 30 avril 2023, Toulouse.
Une exposition en forme de dialogue pour bousculer les évidences, croisant desseins, dessin, peinture et sculpture, et ouvrir à des espaces partagés…
La nature à bout de souffle
Je pense ma peinture en marchant. Voir et penser par les pieds, pour peindre, à la mémoire de ces paysages éprouvés, de pics en rivières et de forêts en lacs…
Les Portraits2
Ces paysages aimés dont les regards troués d’une légère blessure cherchent l’ombre d’une figure enfouie. Au plus loin de mes marches où me mène ma peinture…
Enchanter les villes
Un chantier en peinture, état d’un entre-deux, qui évoque l’enfouissement, l’effacement, tout autant que le surgissement et l’éblouissement…
Gravures et dessins
Je commence toujours ma peinture par un travail de sa surface. Les gravures viennent avant et après la peinture…
Ma démarche artistique articule et met en résonance les pratiques souvent intimement liées du dessin et de la peinture, étend par des ramifications à la sculpture, la vidéo et l’installation, la volonté de questionner l’ambiguïté du regard…
Il n’y a pas de limites à l’offensive
Il y a toujours un côté et l’autre de l’image, tout comme il y a un côté et l’autre de la peinture…
L’invue
De l’art, de la pêche à la mouche et de ma peinture… une immersion dans la pensée qui habite ma peinture par le truchement de l’art de la pêche à la mouche. …
